« Ce rapport alimentera sûrement une discussion et une réflexion sur l’état de l’information et du journalisme au Québec. Les transformations qui se sont produites au cours des dernières années, tant aux plans économique que technologique, commandent que l’on s’arrête pour réfléchir sérieusement à l’avenir des médias, de la profession journalistique et de l’information en général », a affirmé le président du Conseil de presse du Québec, John Gomery.

« Dans ses réflexions, Mme Payette semble avoir été guidée par les deux mêmes principes fondamentaux qui animent depuis toujours le Conseil, à savoir le droit du public à une information de qualité et la protection de la liberté de presse. C’est aussi à la lumière de ces principes que le Conseil analysera dans les prochains jours les multiples conclusions et recommandations que contient le rapport, pour ensuite réagir publiquement », a poursuivi l’actuel président du Conseil de presse.

« Par ailleurs, on se réjouit que les recommandations remises au gouvernement appuient le régime d’autorégulation des médias québécois et le renforcement de son principal instrument, le Conseil de presse », a conclu John Gomery.

Le Conseil de presse du Québec est un organisme à but non lucratif composé de représentants des entreprises de presse, de journalistes et de membres du public. Depuis sa fondation, en 1973, il agit comme tribunal d’honneur de la presse québécoise, et se voue à la promotion d’une presse libre et de qualité ainsi qu’à la défense du droit du public à l’information.

SOURCE :           
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