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D1985-09-034

17 septembre 1985

Plaignant

Mme Jocelyne
Choquette

Mis en cause

Le Journal de
Montréal et M. André Rufiange (chroniqueur)

Représentant du mis en cause

M. Jean-François
Lebrun (directeur de l’information, Le Journal de Montréal)

Résumé de la plainte

Le chroniqueur
André Rufiange du Journal de Montréal corrige, à la demande de la plaignante,
certaines erreurs contenues dans un article qui traite d’un accident impliquant
son frère, mais en profite pour s’en prendre injustement à elle. Le chroniqueur
porte ainsi atteinte à la réputation de la plaignante qui, sans être nommée,
peut malgré tout être identifiée par les lecteurs.

Analyse

Le Conseil n’a pas à établir de lexique des termes que les professionnels de l’information doivent employer ou éviter. Ceux-ci doivent cependant se montrer en tout temps respectueux des événements et des personnes et éviter, à l’endroit de ces dernières, des termes méprisants et susceptibles d’atteindre à leur réputation.

Dans le présent cas, l’information erronée a effectivement été corrigée par le chroniqueur. Quant au reste de ses propos à l’égard de la plaignante, ils manquent certes de délicatesse, mais il semble peu probable que même les lecteurs qui ont suivi les événements entourant la mort du frère de la plaignante puissent identifier cette dernière, l’article relatant l’accident ayant paru près de deux mois avant la seconde chronique du journaliste.

Enfin, quand à savoir qui a été à l’origine des écarts de langage dénoncés de part et d’autre dans cette affaire, le Conseil ne peut évidemment trancher entre des versions aussi contradictoires.

Analyse de la décision

  • C17C Injure
  • C24B Mauvaise foi

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