EN
Conseil de presse du Québec
  • Le Conseil
    • Mission
    • Structure
    • Règlements
    • Publications
    • Membres
    • Conseil d’administration
    • L’Équipe
    • FAQ
    • Contact
  • Porter plainte
    • Processus de plainte
    • Déposer une plainte
    • Commission d’appel
    • Règlement sur l’étude des plaintes du public
  • Guide de déontologie
  • DécisionsNE PAS SUPRIMMER!!!
  • NouvellesNE PAS MODIFIER
EN
  • Le Conseil
  • Mission
  • Structure
  • Règlements
  • Publications
  • Membres
  • Conseil d’administration
  • L’Équipe
  • FAQ
  • Contact
  • Porter plainte
  • Processus de plainte
  • Guide de déontologie
  • Déposer une plainte
  • Commission d'appel
  • Décisions
  • Nouvelles

D1989-01-001

3 mars 1989

Plaignant

M. Luc Racicot

Mis en cause

La Seigneurie
[Boucherville] et La Relève [Boucherville]

Résumé de la plainte

Les
hebdomadaires La Seigneurie et La Relève refusent de publier une lettre du
plaignant qui critique certains enseignants d’une école secondaire régionale.
Ce refus contribue à maintenir ses concitoyens dans l’ignorance.

Griefs du plaignant

Monsieur Luc
Racicot portait plainte contre les hebdomadaires La Seigneurie et La relève de
Boucherville pour avoir refusé de publier une lettre ouverte. Cette lettre
ouverte du plaignant s’en prenait à certains enseignements du module pastoral
de l’école secondaire Saint-Paul au sujet d’événements politiques au Nicaragua.
Le plaignant considérait le refus des journaux «injustifiable», puisqu’il
contribuait à tenir dans l’ignorance des personnes qui avaient le droit de
savoir ce qui se passait dans leur milieu.

Analyse

Le Conseil a toujours reconnu la prérogative de l’éditeur en ce qui concerne le courrier des lecteurs et le Conseil est d’avis que nul n’a accès de plein droit à la tribune réservée à cette fin dans les journaux. En prenant la décision de publier ou non la lettre d’un lecteur, l’éditeur doit favoriser l’expression du plus grand nombre possible de points de vue. Il doit cependant demeurer libre de déterminer si les propos et les textes qui lui sont soumis sont d’intérêt public.

En regard de ces principes, le Conseil est d’avis que les hebdomadaires La Seigneurie et La Relève ne sauraient être blâmés pour avoir refusé de publier la lettre ouverte du plaignant.

Analyse de la décision

  • C08A Choix des textes

Ce site web a été réalisé grâce à la participation financière de :

© Conseil de presse du Québec. Tous droits réservés.