Chaque mois, le Magazine du CPQ vous propose un tour de piste de décisions, prises de position, analyses ou comptes rendus de divers organisme de régulation de la presse ou d’ombudsman du Canada ou de l’étranger, relativement à différentes situations où se posent des questions déontologiques et éthiques. Voici notre tour d’horizon de novembre.
Le Conseil de déontologie journalistique de Belgique a blâmé SudPresse pour des titres stigmatisant les homosexuels. Notre résumé : Stigmatisation dans un titre.
Le Conseil de presse de l’Australie a rejeté une plainte relative à des articles portant sur le « suicide rationnel ». Notre résumé : Suicide rationnel, couverture acceptable.
Le manque d’équilibre a valu un blâme du Conseil de presse de l’Australie à un hebdomadaire ayant mal géré la publication de lettres, pendant une campagne électorale. Notre résumé : Lettres à l’éditeur et équilibre.
Le Conseil suisse de la presse a donné raison à un journal ayant exposé des éléments concernant la vie privée d’un élu, car ceux-ci étaient aussi en lien avec sa vie publique. Notre résumé : Quand la sphère privée rejoint le public.
L’ombudsman de CBC a rejeté la plainte d’un intervenant qui ne s’attendait pas à voir une entrevue qu’il avait accordée se retrouver dans un documentaire. Notre résumé : Une entrevue dans les règles.
Dans deux décisions, l’ombudsman de CBC insiste sur le respect des règles s’appliquant aux médias en période électorale, même lorsque le sujet traité n’est pas l’élection en tant que telle. Notre résumé : Prudence en période électorale.
Le quotidien britannique prestigieux The Guardian n’est pas à l’abri des erreurs : la Press Complaint Commission a retenu une plainte formulée contre lui par le secrétaire privé de la Reine. Notre résumé : The Guardian aussi commet des fautes.
Une affaire de pornographie juvénile mise au jour par un journal britannique, clairement d’intérêt public, lui a néanmoins valu un blâme de la Press Complaint Commission. Notre résumé : Photo d’enfant et pornographie.
La médiatisation d’un chassé-croisé amoureux constituait bien une atteinte à la vie privée d’un couple maintenant divorcé, conclut la Cour européenne des droits de l’homme. Notre résumé : Sexe, journalisme et scandale.
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