Le Conseil de presse du Québec est à la recherche d’un coordonnateur(trice), gestion des plaintes.
Date limite pour postuler : 9 février 2020
Type d’emploi : Temps plein, Permanent
Ville : Montréal
Le coordonnateur(trice) se rapporte à la secrétaire générale du Conseil de presse du Québec.
Principales tâches et responsabilités:
- Gère, de façon numérique, les dossiers de plaintes du public qui visent les journalistes et les médias
- Gère la création d’une base de données dynamique pour les dossiers de plaintes
- Communique avec les plaignants, les médias, les journalistes et les membres du conseil d’administration afin de les informer de l’état des dossiers en circulation au Conseil
- Veille au respect d’un calendrier dynamique des tâches et des priorités relatives au traitement des plaintes
- Fait périodiquement le point sur l’état d’avancement des activités, des dates limites et des livrables
- Crée et tient à jour différents registres numériques de suivi, notamment le suivi des décisions rendues par le Conseil
- Rédige des rapports de traitement des plaintes
- Produit le rapport annuel du Conseil
- S’assure de l’archivage des dossiers sur Google Drive
- Assure le suivi des échéanciers avec les employés du Conseil qui analysent les plaintes
- Rédige la correspondance du Conseil
- Gère certaines tâches administratives pour et avec l’équipe
Le candidat idéal possédera les aptitudes, l’expérience et les compétences suivantes:
- Connaissance de Google Drive et de la G-Suite
- Aptitudes à créer et gérer une base de données
- Parfaite maîtrise du français et de l’anglais, à l’oral et à l’écrit
- Expérience dans un poste administratif ou de gestion, un atout
- Souci du détail hors du commun
- Excellent sens de l’organisation
- Intérêt pour l’univers du journalisme et des médias
- Excellentes habiletés en communications interpersonnelles et capacité à établir et à maintenir des relations de travail et des partenariats efficaces avec divers intervenants et groupes d’intérêt
- Capacité à établir l’ordre prioritaire des tâches selon leur délai très serré, dans un contexte où les activités et les priorités évoluent rapidement
- Bon jugement et discernement
- Aptitude à travailler de façon très autonome, mais également en équipe
Pour poser votre candidature, veuillez faire parvenir votre CV ainsi qu’une lettre de présentation d’ici le 9 février 2020 à l’adresse courriel suivante: candidatures@conseildepresse.qc.ca
Dans votre lettre de présentation, veuillez décrire spécifiquement en quoi vos compétences répondent aux besoins du poste, et pourquoi vous souhaitez travailler au Conseil de presse du Québec.
Le CPQ remercie tous les postulants. Il ne communiquera toutefois qu’avec les candidats sélectionnés.
Avantages sociaux
- Assurances
- REER collectif
- 2 à 3 semaines de vacances, selon l’expérience, avec échelle de croissance
À propos du Conseil de presse
Le Conseil de presse du Québec est un organisme privé, à but non lucratif, qui œuvre depuis près de 50 ans à la protection de la liberté de la presse et à la défense du droit du public à une information de qualité. Son action s’étend à tous les médias d’information distribués ou diffusés au Québec, qu’ils soient membres ou non du Conseil, qu’ils appartiennent à la presse écrite ou électronique.
Il a été créé en 1973, à l’initiative conjointe de journalistes et de dirigeants de médias d’information, auxquels ont été associés dès le départ des représentants du public. Il est tripartite, son conseil d’administration et tous ses comités étant composés de journalistes, de membres désignés par les entreprises de presse et de représentants du public.
Le Conseil de presse du Québec est un organisme à adhésion volontaire, indépendant des autorités gouvernementales, ce qui lui confère l’autonomie nécessaire à l’accomplissement de sa mission.
Le Conseil agit comme organe d’autorégulation de la presse québécoise. Il émet également des avis sur diverses questions ou pratiques en lien avec sa mission. En aucune façon, le Conseil ne peut être assimilé à un tribunal civil, il ne possède aucun pouvoir judiciaire, réglementaire, législatif ou coercitif ; il n’impose aucune autre sanction que morale. Son Guide de déontologie formule les normes déontologiques qui encadrent l’exercice du journalisme au Québec.